

La toute première structure bi+ à l’échelle européenne vient de voir le jour ! Le projet BI+Equal, financé par la Commission européenne pour deux ans, met en lumière la communauté bi+, trop longtemps sous-représentée dans les espaces institutionnels et militants européens. Ce projet a vu le jour grâce à la force collective des associations néerlandaises et françaises “BI+Nederland” et “Spectrum”. Son ambition est de fédérer, de renforcer et de faire rayonner les initiatives bi+ dans toute l’Europe, en créant une organisation au service des personnes bi/pan/bi+.
Ce mercredi 26 novembre 2025 marque le point culminant de quatre jours de manifestations, de mobilisations et d’actions, aux quatre coins de la Belgique : la journée du 23 sera dédiée aux violences sexistes et sexuelles, celle du 24 aux transports publics, le 25 à l’ensemble des services publics et enfin une grève nationale interprofessionnelle aura lieu le 26 novembre.
À l'occasion de la Semaine de visibilité trans, nous voulions revenir sur trois fake news trop souvent entendues, afin de lutter contre la désinformation qui crée bien souvent des peurs infondées et un rejet de toute remise en question du genre en tant que construction sociale.
Rappelons que cette lutte est essentielle pour permettre aux futures générations de se sentir en sécurité, peu importe leur identité ou leur expression de genre.
STOP au harcèlement scolaire ✨
Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, la RTBF lance la campagne HOPE, invitant toutes les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles à y participer. À la Fédération PRISME, nous rappelons que la communauté LGBTQIA+ est particulièrement touchée par le harcèlement scolaire, avec des conséquences lourdes : anxiété, isolement, perte d’estime de soi, décrochage scolaire ou risque suicidaire.
Le 21 octobre 2025, Prisme et çavaria ont organisé une conférence sur l’accueil sécurisé des personnes LGBTI+ réfugié·es/en situation de migration. Des membres du personnel de centres d’accueil ont partagé leurs expériences, et des résident·es ont témoigné de la difficulté de vivre en devant constamment dissimuler leur identité.
